« Ecrire ou ne pas écrire » explore la philosophie et la pratique de l’écriture, en abordant les raisons pour lesquelles les individus écrivent et les complexités impliquées dans le processus. Il aborde les motivations qui sous-tendent l’écriture, non seulement en tant que compétence technique, mais aussi en tant qu’acte profond d’expression et d’exploration de soi. S’inspirant de Rainer Maria Rilke, le texte souligne que l’écriture doit résulter d’une nécessité intérieure plutôt que d’un désir de succès ou d’approbation. Il examine le rôle de la solitude et de la vulnérabilité dans la stimulation de la créativité et le développement d’une voix authentique.
L’écriture est présentée comme un moyen de découverte de soi, permettant aux individus d’affronter leurs peurs intérieures et d’explorer leurs pensées et leurs émotions. Il souligne le rôle de l’amour dans l’écriture, qu’il s’agisse de l’amour de l’humanité, de l’art lui-même ou même de l’amour de soi, chacun enrichissant l’expérience de l’écrivain et le reliant aux autres. Il encourage la pratique régulière de l’écriture et la manière de faire face à des défis tels que le blocage de l’écrivain, les distractions et la peur de la page blanche. Dans l’ensemble, le texte présente l’écriture comme une pratique transformatrice qui favorise le développement personnel, l’épanouissement artistique et un sentiment de connexion avec l’expérience humaine au sens large.
« L’esprit de fête » explore les aspects culturels et psychologiques des fêtes et des rassemblements festifs, en examinant pourquoi les gens souhaitent souvent que ces événements se prolongent indéfiniment. Il aborde l’attrait des fêtes comme des échappatoires temporaires aux responsabilités, aux routines et à la banalité de la vie quotidienne. Les fêtes sont des environnements qui favorisent la joie, la connexion et un sentiment d’intemporalité, pouvant évoquer un « goût de l’infini ». Ce désir de prolonger indéfiniment la fête relève d’une réticence à revenir à la vie ordinaire, et à une envie de ressentir l’unité et l’exaltation que procurent les fêtes.
De surcroît, les fêtes suscitent un sentiment de transcendance, où les individus se sentent momentanément partie d’un tout plus grand, évoquant un sens de connexion et de transformation quasi religieux. Des éléments tels que la musique, l’alcool et les interactions sociales libres réduisent les inhibitions, facilitant la formation de liens émotionnels et favorisant un esprit de convivialité. Cet « esprit de fête » contraste avec la vie quotidienne, car les fêtes satisfont un besoin profond de liberté et d’expression émotionnelle que la société structurée et rationnelle réprime souvent.
Bien entendu, on peut critiquer cette fascination pour l’esprit de fête, car le désir de festivité sans fin peut être une forme d’évasion ou un « mauvais infini », manquant d’accomplissement et conduisant à un cycle de dépendance. Cela contraste avec un « vrai infini », qui incarne des poursuites significatives et durables. Cela met en évidence la tension entre les plaisirs temporaires de l’esprit de fête, et la stabilité et la structure que procure la réalité quotidienne et la pensée rationnelle.
L’être humain subit une fracture permanente, entre lui et le monde, entre ce qu’il est et ce qu’il prétend être, entre la réalité et ses expectatives. Et comme de surcroît nous sommes obnubilés par le concept d’infini, sous diverses formes comme la perfection, l’immortalité ou l’absolu, nous sommes renvoyés brutalement à notre propre finitude, ce qui rend l’existence plus ardue encore. La plupart du temps ces enjeux se déploient inconsciemment, ce qui entraine des conséquences douloureuses, engendrant un sentiment d’insatisfaction et d’impuissance. Mais si nous en faisons l’objet d’une réflexion délibérée, en dépit de la dimension négative du contenu, nous avons accès à nous-même, nous nous engageons dans une véritable expérience d’être, libre et joyeuse. L’imposture n’est imposture que si nous en ignorons la teneur et sa présence, mais en devenant objet conscient de réflexion, l’imposture prend la forme d’un idéal régulateur.
Zhuangzi était un philosophe chinois influent qui a vécu vers le 4e siècle avant Jésus-Christ. On lui attribue l’écriture – au moins en partie – d’un opus qui porte son nom, le Zhuangzi, et qui est l’un des textes fondateurs du taoïsme. Il se compose de nombreuses petites histoires étranges, écrites dans le but de susciter la réflexion du lecteur. Sa fonction première est de nous faire réfléchir aux aspects illusoires et même ridicules de notre vie, en critiquant bien des préoccupations, obligations sociales et morales, qui sont la cause de notre misère psychologique et cognitive. Notre travail consiste en une sélection d’histoires, assorties pour chacune d’une analyse philosophique articulée autour des concepts clés de chaque histoire, et également d’un aperçu de la culture chinoise. Une série de questions est proposée, afin que le lecteur puisse méditer sur le contenu du texte.
Zhuangzi était un philosophe chinois influent qui a vécu vers le 4e siècle avant Jésus-Christ. On lui attribue l’écriture – au moins en partie – d’un opus qui porte son nom, le Zhuangzi, et qui est l’un des textes fondateurs du taoïsme. Il se compose de nombreuses petites histoires étranges, écrites dans le but de susciter la réflexion du lecteur. Sa fonction première est de nous faire réfléchir aux aspects illusoires et même ridicules de notre vie, en critiquant bien des préoccupations, obligations sociales et morales, qui sont la cause de notre misère psychologique et cognitive. Notre travail consiste en une sélection d’histoires, assorties pour chacune d’une analyse philosophique articulée autour des concepts clés de chaque histoire, et également d’un aperçu de la culture chinoise. Une série de questions est proposée, afin que le lecteur puisse méditer sur le contenu du texte.
Réécrire les Évangiles, quel drôle de travail pour un philosophe, nullement spécialisé en ce domaine ! C’est pourtant ce que nous avons souhaité accomplir dans cet ouvrage.Dieu ne rit pas, nous dit-on. Or nous pensons que cela relève plus d’un choix arbitraire, tout à fait légitime, mais partial comme tous les choix, que d’un quelconque absolu. Sans doute par sensibilité personnelle, ou à cause d’un amour immodéré pour l’ironie de Socrate, les inepties de Nasreddin ou l’absurdité en général, il nous a toujours semblé que la figure du Christ, ses paroles et sa vie, en dépit de sa fin tragique – tout comme pour Socrate –, étaient empreintes d’un grand degré d’humour. Nous avons opté pour le principe du dérisoire. Car la sagesse doit se moquer des calculs et ratiocinations ridicules qui constituent malheureusement le quotidien de nos semblables : tout simplement, la sagesse ne peut faire l’économie du rire.
Nous pouvons tirer de nombreuses leçons des événements que la vie nous offre. Des leçons que parfois nous payons au prix fort, très fort. Mais souvent notre conscience, trop occupée à gérer les urgences du présent, met un certain temps à en saisir le sens. Un sens qui la met parfois mal à l’aise. Sur le moment, elle n’est pas prête à recevoir ce qui lui est proposé. Les enjeux en sont trop conséquents, l’interrogation trop douloureuse. Seul l’âge, ou le temps, s’autorise parfois à regarder droit dans les yeux autant de blessantes vérités. En attendant, nous préférons gommer les aspérités, renvoyer aux calendes grecques ce qui nous dérange, taire les questions qui interfèrent dans le déroulement du quotidien.
Cet opuscule relate une vingtaine d’expériences personnelles, que chacun aurait pu avoir vécu, en tentant de saisir la dimension philosophique de ces expériences. Méditer sur l’imprévu, penser l’accident, et donner du relief au quotidien. Un petit exercice de philosophie au quotidien.
On peut philosopher à travers de longues explications et d’imposants traités. Mais il est une autre tradition : celle de l’aphorisme, l’art du fragment. Il s’agit de faire réfléchir le lecteur à travers une ou quelques brèves phrases, un condensé de pensée qui tente de capturer en peu de mots une problématique forte, sous une forme percutante. Souvent critique, ironique ou moqueuse, cette forme laconique de l’expression philosophique est généreuse, car elle est confiante : le lecteur comprendra, même à demi-mot, il saura lire entre les lignes. Et lorsque sera mis en évidence le sordide de l’âme humaine, il ne sera pas triste mais joyeux, de cette liberté octroyée par la prise de conscience. Il s’agit là de se réconcilier avec sa propre finitude, d’accepter notre propre humanité, pour le meilleur et pour le pire.
Faut-il chercher à tout savoir ? Sommes-nous responsable de ce qui nous arrive ? Peut-on maîtriser ses émotions ? Doit-on souffrir pour se réaliser ? L’essentiel est-il urgent ? Pour traiter ces questions, 20 récits sont proposés, qui émanent de la tradition bouddhiste, en Inde : contes, paraboles, ou Jatakas qui racontent les nombreuses vies du Bouddha. S’ensuivent une dizaine de questions de compréhension, afin de creuser le sens des diverses narrations et interpréter leur contenu. Puis une autre dizaine de questions qui invitent à méditer sur des problématiques plus générales émanant de ces textes. A travers ce recueil, le lecteur est invité à découvrir la profondeur et la subtilité de la pensée bouddhique originaire.
Faut-il apprendre à s’ennuyer ? Avons-nous soif d’infini ? Doit-on renoncer à soi-même pour être libre ? La peur nous empêche-t-elle de vivre ? Faut-il rechercher la perfection ? Pour traiter ces questions, 20 contes tirés de la tradition japonaise du Zen, ou chinoise du Chan, sont proposés comme base de réflexion. S’ensuivent une dizaine de questions de compréhension, afin de creuser le sens des diverses narrations et interpréter leur contenu. Puis une autre dizaine de questions qui invitent à méditer sur des problématiques plus générales émanant de ces textes. A travers ce recueil, le lecteur est invité à découvrir la sagesse méditative de cette branche du bouddhisme qui cultive particulièrement la lumineuse et libératrice simplicité de l’esprit.
La vie est-elle une mise à l’épreuve ? Faut-il toujours dire la vérité ? La vieillesse est-elle une calamité ? La différence nous pose-t-elle problème ? Aime-t-on quelqu’un ou aime-t-on l’amour ? Pour traiter ces questions, 20 contes tirés de la tradition soufie sont proposés comme base de réflexion. Puis viennent une dizaine de questions, afin de creuser le sens des diverses narrations et interpréter leur contenu. S’ensuivent une dizaine de questions de compréhension, qui invitent à méditer sur des problématiques plus générales émanant de ces textes. A travers ce recueil, le lecteur est invité à découvrir une spiritualité qui se définit elle-même comme « le cœur » de la tradition musulmane, à la fois voie intérieure de l’islam et art de vivre contemplatif et poétique.
Une vue commune prétend que les contes sont destinés aux enfants. En général, ce n’est pas le cas, et encore moins pour les contes populaires russes. Cela devient plus évident lorsque nous examinons de plus près le contenu, parfois assez violent, de ces histoires. Aussi le pari de ce livre est d’essayer de rétablir la réalité de ces histoires, destinées en tout premier au lecteur d’âge adulte, en les offrant accompagnées d’une analyse philosophique, ainsi que de questions invitant l’amateur de contes à méditer davantage sur le contenu de ces narrations. Car l’une des conséquences de l’infantilisation de ces histoires est précisément qu’elles ont tendance à perdre leur fonction, qui consisterait à faire réfléchir l’auditeur sur le monde, sur l’humanité, sur la psychologie, sur lui-même, etc. Les allégories ou métaphores qu’elles contiennent constituent en fait une sorte de philosophie narrative, prenant la forme de fables ou de paraboles, autant d’éléments destinés à nourrir la pensée de tous. Bien entendu, sans exclure les enfants.
Qui suis-je ? Où vais-je ? Quelle est ma vision du monde ? Comment pourrais-je penser autrement ? Autant de questions fondamentales qui se doivent d’être posées, mais trop souvent sont ignorées, car nous sommes pris dans l’engrenage du quotidien et des obligations. La consultation philosophique est un exercice de la pensée, où le philosophe praticien invite son interlocuteur à se poser, afin de s’interroger sur des questions fondamentales. Dans cet ouvrage, l’auteur aborde différentes facettes de cette pratique, décrivant à la fois ses enjeux, ses compétences et ses difficultés. Divers éléments théoriques y sont présentés, mais aussi la description et l’analyse d’une session de consultation.
Il n’est pas toujours facile de discuter entre parents et enfants, surtout à l’adolescence. Pourtant, de nombreuses situations nous y obligent, ou nous y obligeraient. Cet ouvrage aborde des thèmes très variés, posés sous la forme d’une question, en proposant à chaque fois un dialogue entre parent et enfant, tentant de mettre en scène les diverses difficultés qui pourraient se rencontrer. Puis une courte analyse synthétise les enjeux spécifiques de la question abordée. « Pourquoi ment-on ? », « Qui ne respecte pas l’autre ? », « A quoi ça sert de travailler ? », « Pourquoi se rend-on malheureux ? »… Autant de sujets qui s’imposent au quotidien.
L’émergence de nouvelles pratiques dans le domaine de la philosophie, l’envie de philosopher qui s’exprime depuis quelques années dans le grand public, nous portent à nous interroger sur la nature du philosopher, voire répondre à ceux qui questionnent la légitimité de cette récente vulgarisation du désir philosophique. Est-elle érudition, réflexion générale sur le monde et la vie, sagesse, analyse critique ? Cet ouvrage aborde la question sous diverses facettes: des attitudes, tels l’étonnement ou la radicalité, des compétences, telles l’analyse ou l’argumentation, la problématisation ou la conceptualisation, tentent de cerner sa mise en œuvre. Mais nous abordons aussi la dialectique, l’intuition, la consultation philosophique, etc.
La métaphysique oscille entre une sacralisation érudite ou religieuse, et un rejet pour cause d’inutilité ou de difficulté. Pourtant, à travers sa dimension de gratuité et de distance, elle nous permet de penser le monde et nous-mêmes, de penser notre pensée, d’en envisager les limites, les structures, les articulations. Sans dogme ni crainte, elle nous invite à aborder le pensable et l’impensable. Dans cet ouvrage, il s’agit non pas de défendre une thèse, mais de jouir de l’exercice même de la pensée, en tous ses retournements, en s’arrachant à l’évidence, en évitant autant que faire se peut les court-circuits de la pensée. C’est ce que nous nommons l’art de la conversion.
On peut philosopher à travers de longues explications et d’imposants traités. Mais il est une autre tradition : celle de l’aphorisme, l’art du fragment. Il s’agit de faire réfléchir le lecteur à travers une ou quelques brèves phrases, un condensé de pensée qui tente de capturer en peu de mots une problématique forte, sous une forme percutante. Souvent critique, ironique ou moqueuse, cette forme laconique de l’expression philosophique est généreuse, car elle est confiante : le lecteur comprendra, même à demi-mot, il saura lire entre les lignes. Et lorsque sera mis en évidence le sordide de l’âme humaine, il ne sera pas triste mais joyeux, de cette liberté octroyée par la prise de conscience. Il s’agit là de se réconcilier avec sa propre finitude, d’accepter notre propre humanité, pour le meilleur et pour le pire.
Les contes sont traditionnellement une façon de transmettre la sagesse et de faire penser tout un chacun. C’est définitivement le cas de Nasreddin Hodja, un héros très connu du monde musulman, pour son absurdité, ses caricatures et ses histoires hilarantes. Elles s’articulent autour de problématiques diverses, à propos de l’humain, des actions ou des attitudes, de l’ordre du monde et des problèmes épistémologiques. Dans ce livre, douze histoires sont présentées, basées sur des concepts tel que l’être et l’apparence, la vérité et la prétention, la connaissance et l’ignorance, les choix et les responsabilités, etc. Chacune d’entre elles est suivie d’une analyse philosophique, et deux séries de questions afin de méditer : questions de compréhension et questions de réflexion. Un exercice stimulant aussi bien pour les enfants que pour les adultes.
Cet ouvrage contient un grand nombre d’exercices philosophiques pouvant être réalisés par une personne seule ou en groupe, par des adultes ou des enfants. Ils sont classifiés selon leur difficulté et selon la nature des compétences nécessaires pour leur mise en œuvre. Ce travail permet de clarifier les nombreux gestes mentaux qui caractérise la pensée : argumenter, analyser, interpréter, problématiser, conceptualiser, etc. Une introduction fournit quelques indications pour en assurer la compréhension. En particulier pour l’enseignant qui souhaite introduire une telle pratique comme outil pédagogique.
Que vient faire la philosophie à l’école élémentaire, pour des enfants de trois à onze ans, alors que les jeunes de dix-huit ans ont souvent du mal avec cette matière étrange ? L’auteur pose la question autrement : à dix-huit ans, n’est-il pas presque trop tard pour commencer à philosopher ? Car la philosophie, c’est avant tout apprendre à penser, par soi-même et à travers les autres, approfondir, analyser les problèmes. Autant de pistes théoriques et pratiques proposées pour l’enseignant ou le parent qui pense qu’il n’est jamais trop tôt pour apprendre à réfléchir, et que le questionnement de l’enfant mérite d’être valorisé.
L’auteur propose dans cet ouvrage les cinq formes principales de discussion qu’il pratique depuis des années en classe. Enseigner par le débat, c’est pratiquer avec la classe le difficile exercice de l’élaboration et de l’expression d’idées, s’essayer à l’interrogation, à la critique et au jugement argumenté. Comme les autres dispositifs d’apprentissage, le débat doit être mené par l’enseignant selon des formes inventives mais rigoureuses. Schémas, exercices préparatoires, recueil des principales difficultés font de cet ouvrage destiné aux enseignants un outil précieux.
«Des fois, c’est vraiment impossible de parler avec les gens, ils disent n’importe quoi !» Cet ouvrage présente les aberrations les plus fréquentes du discours et de la pensée, qui devraient paraître plutôt familières au lecteur. L’idée de cette mise en scène est d’en rire, bien qu’elle pourra, parfois, nous faire grincer des dents… Elle nous permet d’observer les petites trahisons quotidiennes de la vérité et de la raison. Un voyage ludique au cœur de la logique et de l’absurde.
Broutille, le Cyclope, l’Ange de la Mort, et autres petites histoires de tous les jours. Certaines de ces histoires sont presque véridique, d’autres, qui le sont moins, le sont peut-être un peu plus…
Guide d’initiation à la pratique philosophique, il a été conçu initialement pour les élèves de Terminale, mais s’adresse avec bonheur à tous ceux que la pratique de la philosophie attire. Composé de plusieurs dialogues avec leurs commentaires, de textes des plus grands philosophes en relation avec les problématiques mises au jour dans les dialogues, un ensemble de questions-réponses, un index de notions-clé, c’est un ouvrage qui offre plusieurs portes d’entrée, sérieuses ou ludiques, sur les grandes problématiques de la philosophie. Huit titres différents constituent cette collection.
Guide d’initiation à la pratique philosophique, il a été conçu initialement pour les élèves de Terminale, mais s’adresse avec bonheur à tous ceux que la pratique de la philosophie attire. Composé de plusieurs dialogues avec leurs commentaires, de textes des plus grands philosophes en relation avec les problématiques mises au jour dans les dialogues, un ensemble de questions-réponses, un index de notions-clé, c’est un ouvrage qui offre plusieurs portes d’entrée, sérieuses ou ludiques, sur les grandes problématiques de la philosophie. Huit titres différents constituent cette collection.
Guide d’initiation à la pratique philosophique, il a été conçu initialement pour les élèves de Terminale, mais s’adresse avec bonheur à tous ceux que la pratique de la philosophie attire. Composé de plusieurs dialogues avec leurs commentaires, de textes des plus grands philosophes en relation avec les problématiques mises au jour dans les dialogues, un ensemble de questions-réponses, un index de notions-clé, c’est un ouvrage qui offre plusieurs portes d’entrée, sérieuses ou ludiques, sur les grandes problématiques de la philosophie. Huit titres différents constituent cette collection.
Guide d’initiation à la pratique philosophique, il a été conçu initialement pour les élèves de Terminale, mais s’adresse avec bonheur à tous ceux que la pratique de la philosophie attire. Composé de plusieurs dialogues avec leurs commentaires, de textes des plus grands philosophes en relation avec les problématiques mises au jour dans les dialogues, un ensemble de questions-réponses, un index de notions-clé, c’est un ouvrage qui offre plusieurs portes d’entrée, sérieuses ou ludiques, sur les grandes problématiques de la philosophie. Huit titres différents constituent cette collection.
Guide d’initiation à la pratique philosophique, il a été conçu initialement pour les élèves de Terminale, mais s’adresse avec bonheur à tous ceux que la pratique de la philosophie attire. Composé de plusieurs dialogues avec leurs commentaires, de textes des plus grands philosophes en relation avec les problématiques mises au jour dans les dialogues, un ensemble de questions-réponses, un index de notions-clé, c’est un ouvrage qui offre plusieurs portes d’entrée, sérieuses ou ludiques, sur les grandes problématiques de la philosophie. Huit titres différents constituent cette collection.
Guide d’initiation à la pratique philosophique, il a été conçu initialement pour les élèves de Terminale, mais s’adresse avec bonheur à tous ceux que la pratique de la philosophie attire. Composé de plusieurs dialogues avec leurs commentaires, de textes des plus grands philosophes en relation avec les problématiques mises au jour dans les dialogues, un ensemble de questions-réponses, un index de notions-clé, c’est un ouvrage qui offre plusieurs portes d’entrée, sérieuses ou ludiques, sur les grandes problématiques de la philosophie. Huit titres différents constituent cette collection.
Guide d’initiation à la pratique philosophique, il a été conçu initialement pour les élèves de Terminale, mais s’adresse avec bonheur à tous ceux que la pratique de la philosophie attire. Composé de plusieurs dialogues avec leurs commentaires, de textes des plus grands philosophes en relation avec les problématiques mises au jour dans les dialogues, un ensemble de questions-réponses, un index de notions-clé, c’est un ouvrage qui offre plusieurs portes d’entrée, sérieuses ou ludiques, sur les grandes problématiques de la philosophie. Huit titres différents constituent cette collection.
Guide d’initiation à la pratique philosophique, il a été conçu initialement pour les élèves de Terminale, mais s’adresse avec bonheur à tous ceux que la pratique de la philosophie attire. Composé de plusieurs dialogues avec leurs commentaires, de textes des plus grands philosophes en relation avec les problématiques mises au jour dans les dialogues, un ensemble de questions-réponses, un index de notions-clé, c’est un ouvrage qui offre plusieurs portes d’entrée, sérieuses ou ludiques, sur les grandes problématiques de la philosophie. Huit titres différents constituent cette collection.
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Écrire ou ne pas Écrire
« Ecrire ou ne pas écrire » explore la philosophie et la pratique de l’écriture, en abordant les raisons pour lesquelles les individus écrivent et les complexités impliquées dans le processus. Il aborde les motivations qui sous-tendent l’écriture, non seulement en tant que compétence technique, mais aussi en tant qu’acte profond d’expression et d’exploration de soi. S’inspirant de Rainer Maria Rilke, le texte souligne que l’écriture doit résulter d’une nécessité intérieure plutôt que d’un désir de succès ou d’approbation. Il examine le rôle de la solitude et de la vulnérabilité dans la stimulation de la créativité et le développement d’une voix authentique.
L’écriture est présentée comme un moyen de découverte de soi, permettant aux individus d’affronter leurs peurs intérieures et d’explorer leurs pensées et leurs émotions. Il souligne le rôle de l’amour dans l’écriture, qu’il s’agisse de l’amour de l’humanité, de l’art lui-même ou même de l’amour de soi, chacun enrichissant l’expérience de l’écrivain et le reliant aux autres. Il encourage la pratique régulière de l’écriture et la manière de faire face à des défis tels que le blocage de l’écrivain, les distractions et la peur de la page blanche. Dans l’ensemble, le texte présente l’écriture comme une pratique transformatrice qui favorise le développement personnel, l’épanouissement artistique et un sentiment de connexion avec l’expérience humaine au sens large.
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L’esprit de fête
« L’esprit de fête » explore les aspects culturels et psychologiques des fêtes et des rassemblements festifs, en examinant pourquoi les gens souhaitent souvent que ces événements se prolongent indéfiniment. Il aborde l’attrait des fêtes comme des échappatoires temporaires aux responsabilités, aux routines et à la banalité de la vie quotidienne. Les fêtes sont des environnements qui favorisent la joie, la connexion et un sentiment d’intemporalité, pouvant évoquer un « goût de l’infini ». Ce désir de prolonger indéfiniment la fête relève d’une réticence à revenir à la vie ordinaire, et à une envie de ressentir l’unité et l’exaltation que procurent les fêtes.
De surcroît, les fêtes suscitent un sentiment de transcendance, où les individus se sentent momentanément partie d’un tout plus grand, évoquant un sens de connexion et de transformation quasi religieux. Des éléments tels que la musique, l’alcool et les interactions sociales libres réduisent les inhibitions, facilitant la formation de liens émotionnels et favorisant un esprit de convivialité. Cet « esprit de fête » contraste avec la vie quotidienne, car les fêtes satisfont un besoin profond de liberté et d’expression émotionnelle que la société structurée et rationnelle réprime souvent.
Bien entendu, on peut critiquer cette fascination pour l’esprit de fête, car le désir de festivité sans fin peut être une forme d’évasion ou un « mauvais infini », manquant d’accomplissement et conduisant à un cycle de dépendance. Cela contraste avec un « vrai infini », qui incarne des poursuites significatives et durables. Cela met en évidence la tension entre les plaisirs temporaires de l’esprit de fête, et la stabilité et la structure que procure la réalité quotidienne et la pensée rationnelle.
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L’ÊTRE ET LES CIRCONSTANCES
L’être humain subit une fracture permanente, entre lui et le monde, entre ce qu’il est et ce qu’il prétend être, entre la réalité et ses expectatives. Et comme de surcroît nous sommes obnubilés par le concept d’infini, sous diverses formes comme la perfection, l’immortalité ou l’absolu, nous sommes renvoyés brutalement à notre propre finitude, ce qui rend l’existence plus ardue encore. La plupart du temps ces enjeux se déploient inconsciemment, ce qui entraine des conséquences douloureuses, engendrant un sentiment d’insatisfaction et d’impuissance. Mais si nous en faisons l’objet d’une réflexion délibérée, en dépit de la dimension négative du contenu, nous avons accès à nous-même, nous nous engageons dans une véritable expérience d’être, libre et joyeuse. L’imposture n’est imposture que si nous en ignorons la teneur et sa présence, mais en devenant objet conscient de réflexion, l’imposture prend la forme d’un idéal régulateur.
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Philosopher avec Zhuangzi – Partie 2
Zhuangzi était un philosophe chinois influent qui a vécu vers le 4e siècle avant Jésus-Christ. On lui attribue l’écriture – au moins en partie – d’un opus qui porte son nom, le Zhuangzi, et qui est l’un des textes fondateurs du taoïsme. Il se compose de nombreuses petites histoires étranges, écrites dans le but de susciter la réflexion du lecteur. Sa fonction première est de nous faire réfléchir aux aspects illusoires et même ridicules de notre vie, en critiquant bien des préoccupations, obligations sociales et morales, qui sont la cause de notre misère psychologique et cognitive. Notre travail consiste en une sélection d’histoires, assorties pour chacune d’une analyse philosophique articulée autour des concepts clés de chaque histoire, et également d’un aperçu de la culture chinoise. Une série de questions est proposée, afin que le lecteur puisse méditer sur le contenu du texte.
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Philosopher avec Zhuangzi
Zhuangzi était un philosophe chinois influent qui a vécu vers le 4e siècle avant Jésus-Christ. On lui attribue l’écriture – au moins en partie – d’un opus qui porte son nom, le Zhuangzi, et qui est l’un des textes fondateurs du taoïsme. Il se compose de nombreuses petites histoires étranges, écrites dans le but de susciter la réflexion du lecteur. Sa fonction première est de nous faire réfléchir aux aspects illusoires et même ridicules de notre vie, en critiquant bien des préoccupations, obligations sociales et morales, qui sont la cause de notre misère psychologique et cognitive. Notre travail consiste en une sélection d’histoires, assorties pour chacune d’une analyse philosophique articulée autour des concepts clés de chaque histoire, et également d’un aperçu de la culture chinoise. Une série de questions est proposée, afin que le lecteur puisse méditer sur le contenu du texte.
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Sagesses et malices de Yoshua, l’homme qui se disait fils de Dieu
Réécrire les Évangiles, quel drôle de travail pour un philosophe, nullement spécialisé en ce domaine ! C’est pourtant ce que nous avons souhaité accomplir dans cet ouvrage.Dieu ne rit pas, nous dit-on. Or nous pensons que cela relève plus d’un choix arbitraire, tout à fait légitime, mais partial comme tous les choix, que d’un quelconque absolu. Sans doute par sensibilité personnelle, ou à cause d’un amour immodéré pour l’ironie de Socrate, les inepties de Nasreddin ou l’absurdité en général, il nous a toujours semblé que la figure du Christ, ses paroles et sa vie, en dépit de sa fin tragique – tout comme pour Socrate –, étaient empreintes d’un grand degré d’humour. Nous avons opté pour le principe du dérisoire. Car la sagesse doit se moquer des calculs et ratiocinations ridicules qui constituent malheureusement le quotidien de nos semblables : tout simplement, la sagesse ne peut faire l’économie du rire.
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Tranches de Vie
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Jour apres Jour II – Aphorismes quotidiens
On peut philosopher à travers de longues explications et d’imposants traités. Mais il est une autre tradition : celle de l’aphorisme, l’art du fragment. Il s’agit de faire réfléchir le lecteur à travers une ou quelques brèves phrases, un condensé de pensée qui tente de capturer en peu de mots une problématique forte, sous une forme percutante. Souvent critique, ironique ou moqueuse, cette forme laconique de l’expression philosophique est généreuse, car elle est confiante : le lecteur comprendra, même à demi-mot, il saura lire entre les lignes. Et lorsque sera mis en évidence le sordide de l’âme humaine, il ne sera pas triste mais joyeux, de cette liberté octroyée par la prise de conscience. Il s’agit là de se réconcilier avec sa propre finitude, d’accepter notre propre humanité, pour le meilleur et pour le pire.
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Sagesse des contes bouddhistes – Extraits
Faut-il chercher à tout savoir ? Sommes-nous responsable de ce qui nous arrive ? Peut-on maîtriser ses émotions ? Doit-on souffrir pour se réaliser ? L’essentiel est-il urgent ? Pour traiter ces questions, 20 récits sont proposés, qui émanent de la tradition bouddhiste, en Inde : contes, paraboles, ou Jatakas qui racontent les nombreuses vies du Bouddha. S’ensuivent une dizaine de questions de compréhension, afin de creuser le sens des diverses narrations et interpréter leur contenu. Puis une autre dizaine de questions qui invitent à méditer sur des problématiques plus générales émanant de ces textes. A travers ce recueil, le lecteur est invité à découvrir la profondeur et la subtilité de la pensée bouddhique originaire.
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Sagesse des contes zen – Extraits
Faut-il apprendre à s’ennuyer ? Avons-nous soif d’infini ? Doit-on renoncer à soi-même pour être libre ? La peur nous empêche-t-elle de vivre ? Faut-il rechercher la perfection ? Pour traiter ces questions, 20 contes tirés de la tradition japonaise du Zen, ou chinoise du Chan, sont proposés comme base de réflexion. S’ensuivent une dizaine de questions de compréhension, afin de creuser le sens des diverses narrations et interpréter leur contenu. Puis une autre dizaine de questions qui invitent à méditer sur des problématiques plus générales émanant de ces textes. A travers ce recueil, le lecteur est invité à découvrir la sagesse méditative de cette branche du bouddhisme qui cultive particulièrement la lumineuse et libératrice simplicité de l’esprit.
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Sagesse des contes soufis – Extraits
La vie est-elle une mise à l’épreuve ? Faut-il toujours dire la vérité ? La vieillesse est-elle une calamité ? La différence nous pose-t-elle problème ? Aime-t-on quelqu’un ou aime-t-on l’amour ? Pour traiter ces questions, 20 contes tirés de la tradition soufie sont proposés comme base de réflexion. Puis viennent une dizaine de questions, afin de creuser le sens des diverses narrations et interpréter leur contenu. S’ensuivent une dizaine de questions de compréhension, qui invitent à méditer sur des problématiques plus générales émanant de ces textes. A travers ce recueil, le lecteur est invité à découvrir une spiritualité qui se définit elle-même comme « le cœur » de la tradition musulmane, à la fois voie intérieure de l’islam et art de vivre contemplatif et poétique.
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Philosopher avec les contes russes
Une vue commune prétend que les contes sont destinés aux enfants. En général, ce n’est pas le cas, et encore moins pour les contes populaires russes. Cela devient plus évident lorsque nous examinons de plus près le contenu, parfois assez violent, de ces histoires. Aussi le pari de ce livre est d’essayer de rétablir la réalité de ces histoires, destinées en tout premier au lecteur d’âge adulte, en les offrant accompagnées d’une analyse philosophique, ainsi que de questions invitant l’amateur de contes à méditer davantage sur le contenu de ces narrations. Car l’une des conséquences de l’infantilisation de ces histoires est précisément qu’elles ont tendance à perdre leur fonction, qui consisterait à faire réfléchir l’auditeur sur le monde, sur l’humanité, sur la psychologie, sur lui-même, etc. Les allégories ou métaphores qu’elles contiennent constituent en fait une sorte de philosophie narrative, prenant la forme de fables ou de paraboles, autant d’éléments destinés à nourrir la pensée de tous. Bien entendu, sans exclure les enfants.
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La consultation philosophique
Qui suis-je ? Où vais-je ? Quelle est ma vision du monde ? Comment pourrais-je penser autrement ? Autant de questions fondamentales qui se doivent d’être posées, mais trop souvent sont ignorées, car nous sommes pris dans l’engrenage du quotidien et des obligations. La consultation philosophique est un exercice de la pensée, où le philosophe praticien invite son interlocuteur à se poser, afin de s’interroger sur des questions fondamentales. Dans cet ouvrage, l’auteur aborde différentes facettes de cette pratique, décrivant à la fois ses enjeux, ses compétences et ses difficultés. Divers éléments théoriques y sont présentés, mais aussi la description et l’analyse d’une session de consultation.
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PARLONS-EN! Dialogues entre parents et enfants sur la vie et le quotidien
Il n’est pas toujours facile de discuter entre parents et enfants, surtout à l’adolescence. Pourtant, de nombreuses situations nous y obligent, ou nous y obligeraient. Cet ouvrage aborde des thèmes très variés, posés sous la forme d’une question, en proposant à chaque fois un dialogue entre parent et enfant, tentant de mettre en scène les diverses difficultés qui pourraient se rencontrer. Puis une courte analyse synthétise les enjeux spécifiques de la question abordée. « Pourquoi ment-on ? », « Qui ne respecte pas l’autre ? », « A quoi ça sert de travailler ? », « Pourquoi se rend-on malheureux ? »… Autant de sujets qui s’imposent au quotidien.
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L’art de la Pratique Philosophique
L’émergence de nouvelles pratiques dans le domaine de la philosophie, l’envie de philosopher qui s’exprime depuis quelques années dans le grand public, nous portent à nous interroger sur la nature du philosopher, voire répondre à ceux qui questionnent la légitimité de cette récente vulgarisation du désir philosophique. Est-elle érudition, réflexion générale sur le monde et la vie, sagesse, analyse critique ? Cet ouvrage aborde la question sous diverses facettes: des attitudes, tels l’étonnement ou la radicalité, des compétences, telles l’analyse ou l’argumentation, la problématisation ou la conceptualisation, tentent de cerner sa mise en œuvre. Mais nous abordons aussi la dialectique, l’intuition, la consultation philosophique, etc.
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Apologie de la Métaphysique
La métaphysique oscille entre une sacralisation érudite ou religieuse, et un rejet pour cause d’inutilité ou de difficulté. Pourtant, à travers sa dimension de gratuité et de distance, elle nous permet de penser le monde et nous-mêmes, de penser notre pensée, d’en envisager les limites, les structures, les articulations. Sans dogme ni crainte, elle nous invite à aborder le pensable et l’impensable. Dans cet ouvrage, il s’agit non pas de défendre une thèse, mais de jouir de l’exercice même de la pensée, en tous ses retournements, en s’arrachant à l’évidence, en évitant autant que faire se peut les court-circuits de la pensée. C’est ce que nous nommons l’art de la conversion.
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Jour après Jour – 365 Aphorismes
On peut philosopher à travers de longues explications et d’imposants traités. Mais il est une autre tradition : celle de l’aphorisme, l’art du fragment. Il s’agit de faire réfléchir le lecteur à travers une ou quelques brèves phrases, un condensé de pensée qui tente de capturer en peu de mots une problématique forte, sous une forme percutante. Souvent critique, ironique ou moqueuse, cette forme laconique de l’expression philosophique est généreuse, car elle est confiante : le lecteur comprendra, même à demi-mot, il saura lire entre les lignes. Et lorsque sera mis en évidence le sordide de l’âme humaine, il ne sera pas triste mais joyeux, de cette liberté octroyée par la prise de conscience. Il s’agit là de se réconcilier avec sa propre finitude, d’accepter notre propre humanité, pour le meilleur et pour le pire.
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Philosopher avec Nasreddin Hodja
Les contes sont traditionnellement une façon de transmettre la sagesse et de faire penser tout un chacun. C’est définitivement le cas de Nasreddin Hodja, un héros très connu du monde musulman, pour son absurdité, ses caricatures et ses histoires hilarantes. Elles s’articulent autour de problématiques diverses, à propos de l’humain, des actions ou des attitudes, de l’ordre du monde et des problèmes épistémologiques. Dans ce livre, douze histoires sont présentées, basées sur des concepts tel que l’être et l’apparence, la vérité et la prétention, la connaissance et l’ignorance, les choix et les responsabilités, etc. Chacune d’entre elles est suivie d’une analyse philosophique, et deux séries de questions afin de méditer : questions de compréhension et questions de réflexion. Un exercice stimulant aussi bien pour les enfants que pour les adultes.
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Cahier d’exercices philosophiques
Cet ouvrage contient un grand nombre d’exercices philosophiques pouvant être réalisés par une personne seule ou en groupe, par des adultes ou des enfants. Ils sont classifiés selon leur difficulté et selon la nature des compétences nécessaires pour leur mise en œuvre. Ce travail permet de clarifier les nombreux gestes mentaux qui caractérise la pensée : argumenter, analyser, interpréter, problématiser, conceptualiser, etc. Une introduction fournit quelques indications pour en assurer la compréhension. En particulier pour l’enseignant qui souhaite introduire une telle pratique comme outil pédagogique.
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La pratique de la philosophie à l’école primaire
Que vient faire la philosophie à l’école élémentaire, pour des enfants de trois à onze ans, alors que les jeunes de dix-huit ans ont souvent du mal avec cette matière étrange ? L’auteur pose la question autrement : à dix-huit ans, n’est-il pas presque trop tard pour commencer à philosopher ? Car la philosophie, c’est avant tout apprendre à penser, par soi-même et à travers les autres, approfondir, analyser les problèmes. Autant de pistes théoriques et pratiques proposées pour l’enseignant ou le parent qui pense qu’il n’est jamais trop tôt pour apprendre à réfléchir, et que le questionnement de l’enfant mérite d’être valorisé.
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Enseigner par le débat
L’auteur propose dans cet ouvrage les cinq formes principales de discussion qu’il pratique depuis des années en classe. Enseigner par le débat, c’est pratiquer avec la classe le difficile exercice de l’élaboration et de l’expression d’idées, s’essayer à l’interrogation, à la critique et au jugement argumenté. Comme les autres dispositifs d’apprentissage, le débat doit être mené par l’enseignant selon des formes inventives mais rigoureuses. Schémas, exercices préparatoires, recueil des principales difficultés font de cet ouvrage destiné aux enseignants un outil précieux.
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Question de logiques !
«Des fois, c’est vraiment impossible de parler avec les gens, ils disent n’importe quoi !» Cet ouvrage présente les aberrations les plus fréquentes du discours et de la pensée, qui devraient paraître plutôt familières au lecteur. L’idée de cette mise en scène est d’en rire, bien qu’elle pourra, parfois, nous faire grincer des dents… Elle nous permet d’observer les petites trahisons quotidiennes de la vérité et de la raison. Un voyage ludique au cœur de la logique et de l’absurde.
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Contes Philosophiques
Broutille, le Cyclope, l’Ange de la Mort, et autres petites histoires de tous les jours. Certaines de ces histoires sont presque véridique, d’autres, qui le sont moins, le sont peut-être un peu plus…
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L’Opinion, la Connaissance et la Vérité
Guide d’initiation à la pratique philosophique, il a été conçu initialement pour les élèves de Terminale, mais s’adresse avec bonheur à tous ceux que la pratique de la philosophie attire. Composé de plusieurs dialogues avec leurs commentaires, de textes des plus grands philosophes en relation avec les problématiques mises au jour dans les dialogues, un ensemble de questions-réponses, un index de notions-clé, c’est un ouvrage qui offre plusieurs portes d’entrée, sérieuses ou ludiques, sur les grandes problématiques de la philosophie. Huit titres différents constituent cette collection.
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L’Art et le beau
Guide d’initiation à la pratique philosophique, il a été conçu initialement pour les élèves de Terminale, mais s’adresse avec bonheur à tous ceux que la pratique de la philosophie attire. Composé de plusieurs dialogues avec leurs commentaires, de textes des plus grands philosophes en relation avec les problématiques mises au jour dans les dialogues, un ensemble de questions-réponses, un index de notions-clé, c’est un ouvrage qui offre plusieurs portes d’entrée, sérieuses ou ludiques, sur les grandes problématiques de la philosophie. Huit titres différents constituent cette collection.
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L’Etat et la Société
Guide d’initiation à la pratique philosophique, il a été conçu initialement pour les élèves de Terminale, mais s’adresse avec bonheur à tous ceux que la pratique de la philosophie attire. Composé de plusieurs dialogues avec leurs commentaires, de textes des plus grands philosophes en relation avec les problématiques mises au jour dans les dialogues, un ensemble de questions-réponses, un index de notions-clé, c’est un ouvrage qui offre plusieurs portes d’entrée, sérieuses ou ludiques, sur les grandes problématiques de la philosophie. Huit titres différents constituent cette collection.
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La Conscience, l’Inconscient et le Sujet
Guide d’initiation à la pratique philosophique, il a été conçu initialement pour les élèves de Terminale, mais s’adresse avec bonheur à tous ceux que la pratique de la philosophie attire. Composé de plusieurs dialogues avec leurs commentaires, de textes des plus grands philosophes en relation avec les problématiques mises au jour dans les dialogues, un ensemble de questions-réponses, un index de notions-clé, c’est un ouvrage qui offre plusieurs portes d’entrée, sérieuses ou ludiques, sur les grandes problématiques de la philosophie. Huit titres différents constituent cette collection.
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La Raison et le Sensible
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Le Temps, l’Existence et la Mort
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Le travail et la technique
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Liberté et déterminisme
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